Je suis friand de l’utilisation fréquente de cet outil, le site wunderground.com (avec ici une latitude et une longitude qui nous positionnent sur notre France), très pratique pour vous permettre de vérifier par vous-mêmes, outre ce qui est rapporté sur les chaînes de (dés)information médiatique grand public, ce qu’il en est finalement du temps qu’il fait (à part le simple fait de le ressentir, ce qui ne saurait faire office de baromètre très précis) partout où il y a une station de surveillance météo effectuant et publiant ses données prévisionnelles, l’historique météorologique des environs, et diverses spécifications relatives à d’autres variables intéressantes.

Par exemple, d’après la station Paray-Vieille-Poste en Essonne (à proximité d’Orly) couvrant la région parisienne où vivent et travaillent de nombreux diffuseurs médiatiques de fausses nouvelles, y compris de fausses nouvelles climatiques, voici ce que sont les prévisions météorologiques en regard de ces dix prochains jours (j’en ai fait une capture d’écran à partir de cette page :

Voici ce qu’il en est, provisionnellement, de la seconde moitié du mois d’août (j’en ai également fait la capture d’écran, reproduite ci-dessous), mois présenté par les embrouilleurs carbophobes de l’alarmisme climatique institutionnel comme l’un des plus chauds et des plus secs jamais connus (pour référence, voici le lien vers la page entière du calendrier (https://www.wunderground.com/calendar/fr/paris/LFPO)

Les températures moyennes, converties de °F à °C (x°F – 32/1.8), ne sont en aucun cas exceptionnelles et ne justifient donc aucunement l’hystérie caniculaire de cet été 2022 (en Europe comme ici). Ces prévisions météorologiques parisiennes pour la deuxième quinzaine du mois d’août attestent que nous sommes loin, en Île-de-France comme ailleurs, d’avoir à faire à l’un des mois d’août les plus chauds jamais recensés. Mais les fausses nouvelles estivales se déchaînent aujourd’hui comme des feux de forêt incontrôlables pour diaboliser les combustibles fossiles à faible coût et culpabiliser les peuples et leur « empreinte carbone », au nom menteur d’une imposture climatique de plusieurs milliards de dollars menée par des escrocs et des criminels hypocrites. Il n’y a pas de crise climatique, mais il y a malheureusement une crise énergétique et alimentaire, à la sinistre faveur des politiques de transition énergétique des imposteurs et des pervers narcissiques qui prétendent nous diriger. Et ce sont les moins bien nantis qui, sans surprise, sont les plus durement frappés.

Je ne sais pas où chacun d’entre vous se trouve en ce moment, mais vous pouvez choisir une localité, pour procéder à la même opération, et vous faire une idée. Rien que nous n’ayons jamais vu auparavant. En fait, nous sommes loin des sécheresses massives du XVIIIe siècle (et d’autres bien plus anciennes) et des vagues de chaleur du début du XXe siècle. Périodes au cours desquelles les concentrations de CO2 atmosphérique étaient très éloignées de la teneur actuelle.

C’est encore l’été, profitons des beaux jours, au diable l’alarmisme de nos baratineurs politico-médiatiques !

Par Sébastien Renault

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