Dave Chappelle remet l’antisémitisme à sa place

« Remets ta chaîne, Nigga »

Avec Dave Chappelle,  l’antisémitisme est devenu une simple blague

E. MICHAEL JONES – 15 NOVEMBRE 2022                             Terrorisme d'Etat : Germania delenda est, par E. Michael Jones

 

 

La colère noire« Aucun homme noir ne devient millionnaire sans amitiés dans la communauté juive » (Le ministre Louis Farrakhan)

 

« Alors là, je les emmerde ces putains de juifs, mon négro. Heil Hitler. »

(Charleston White, en soutien à Kanye West)

« Remets ta chaîne, négro, et tu es le bienvenu (Dave Chappelle)

 

Le basketteur Kyrie Irving et l’ADL

Kyrie IrvingL’incident avec Kyrie Irving semblait à première vue être l’exemple classique d’une réaction juive hystérique excessive menant à l’exact opposé de ce que les Juifs voulaient provoquer. En réponse à un joueur de basket-ball qui recommandait un film récent – From Hebrews to Negroes – disponible sur Amazon, la Tchéka juive, autrement connue sous le nom d’Anti-Defamation League, a exigé la tête d’Irving sur un plateau, ce qui a conduit la NBA à le suspendre pour cinq matchs et à publier un plan en six points qu’il devait remplir avant qu’Adam Silver, le Juif qui dirige la NBA, ne l’autorise à réintégrer la ligue. L’un des points du plan impliquait de verser à l’ADL 500 000 dollars de « protection ». Sentant que Kyrie n’avait pas assez rampé, la NBA a conclu un accord selon lequel Irving devait s’excuser publiquement et faire don de 500 000 dollars à l’ADL, après quoi les Nets ajouteraient 500 000 dollars supplémentaires au pot.

 

Le premier résultat de cet arrangement a été une prise de conscience. Sans l’ADL, qui aurait su que la National Basketball Association pratiquait une forme de contrôle social, parce que 70 % des joueurs sont noirs mais 60 % des propriétaires, qui avaient nommé Silver comme commissaire, étaient juifs. Le second résultat est une vague de colère qui déferle sur la communauté noire qui, jusqu’alors, s’était habituée au rôle de consommateur docile en achetant les chaussures endossées par la star du jour. En réponse à l’attaque de l’ADL contre Kyrie Irving, des vidéos de brûlage de chaussures ont commencé à circuler sur Internet. Adidas, l’entreprise allemande de chaussures qui a annulé le contrat de Kyrie, a pris un coup financier immédiat, et les entreprises qui avaient été autorisées à fabriquer les chaussures qui maintenaient les Noirs dans la plantation sportive juive ont été contraintes de licencier des travailleurs pour que l’ADL puisse faire valoir son point de vue.

 

Le cas du rappeur Kayne West

Il existe un certain nombre d’explications au fait que l’ADL ait fait quelque chose d’aussi stupide. La plus plausible est que l’incident avec Kyrie Irving était une tentative pour détourner l’attention du monde de quelque chose de bien pire, qui s’était produit quelques jours auparavant, lorsque Kanye West a commencé à parler de la façon dont les Juifs exerçaient littéralement un contrôle sur les Noirs à Hollywood par l’intermédiaire de Harley Pasternak, un commissaire juif se faisant passer pour l’entraîneur personnel de l’Agence tous risques. Le débat a commencé lorsque Kanye et Candace Owen, la spécialiste noire conservatrice de la plateforme The Wire de Ben Shapiro, se sont présentés avec des T-shirts assortis « White Lives Matter ». Parce que Black Lives Matter était l’incarnation la plus récente de la cause sacrée connue sous le nom d’Alliance judéo-noire, les Juifs ont réagi de manière excessive à ce qu’ils ont perçu comme un blasphème. Kanye a intensifié l’attaque portée avec le T-shirt WLM en menaçant de susciter une  » Alerte défense de niveau 3 pour les Juifs  » [1], puis a mis sa menace à exécution en publiant des SMS de Pasternak dans lesquels il avait menacé de faire droguer Kanye et de le faire interner pour qu’il ne puisse plus jamais revoir ses enfants [ce qui s’est réellement passé en 2016]. « On m’a mal diagnostiqué mentalement et on m’a presque drogué jusqu’à me retourner la tête pour faire de moi une célébrité gérable et bien élevée », a tweeté Kanye. Après s’être vu proposer l’option de s’asseoir avec Pasternak et de faire ce qu’on lui disait, Kanye s’est vu proposer une deuxième alternative : « Je te fais à nouveau interner dans une institution où ils te drogueront à mort, et tu retournes à Zombieland pour toujours. La sortie avec les enfants… à voir » 2] C’était sérieux, si sérieux en fait qu’il a fallu que l’ADL passe en Alerte Défense de niveau 3 et  se déchaîne sur Kyrie Irving pour détourner l’attention de tous.

 

Le cas de Marilyn Monroe

Lorsque Marilyn Monroe était la plus grande star féminine d’Hollywood, les contrôleurs juifs étaient connus comme psychiatres. Maintenant ils sont connus comme « entraîneurs personnels ». Monroe a passé des années à essayer d’échapper aux griffes de son psychiatre personnel, le Dr Ralph Greenson, dont la relation sexuelle avec Monroe n’était que la partie émergée d’un iceberg d’abus massifs comprenant des drogues qui l’ont conduite à Zombieland et finalement à la mort. Selon la version standard, Greenson s’est introduit dans la chambre de l’actrice en brisant une fenêtre pour la trouver morte dans son lit, avec un flacon vide de somnifères sur sa table de nuit. D’autres sources affirment que Greenson est responsable de la mort de l’actrice par overdose pour lui avoir enfoncé une aiguille dans la poitrine [3]. Le détective privé Becky Aldrige affirme que la « boîte 29 » entreposée à la bibliothèque de l’UCLA contient des preuves montrant que « le Dr Greenson avait tué marilyb Monroe après qu’elle ait menacé de révéler les liaisons qu’elle avait eues avec les frères Kennedy et qu’il soit resté hanté par l’actrice » [4].

 

Harley Pasternak, l’entraîneur de Kayne West

 

Pasternak est la réincarnation de Greenson. Le psychiatre s’est transformé en entraîneur personnel associé à Defense Research and Development, Canada, l’opération de guerre psychologique de ce pays. Dans la même vidéo qui a révélé son lien avec l’opération de guerre psychologique canadienne, Pasternak a admis qu’il avait accès à des drogues très puissantes, car « en travaillant pour l’armée, je n’étais pas régi par les mêmes lois que le commun des mortels »[5] Dans les années 50 et 60, le RDDC était lié à la branche canadienne du programme MKultra de la CIA. La CIA s’est associée au Dr Ewan Cameron pour mener des expériences illégales sur l’esprit humain à l’Université Magill de Montréal. Dan Dicks affirme que Pasternak est « l’intermédiaire » qui relie l’opération de guerre psychologique canadienne aux « puissantes forces de l’ombre à Hollywood » qui se sont soudainement énervées contre Kanye West[6], au point que l’ADL a été obligée de changer de rengaine pour parler de l’histoire relativement insignifiante de Kyrie Irving, ce qui n’a rien fait de plus que de contrarier inutilement les Noirs, sabotant ainsi l’opération de subversion révolutionnaire la plus réussie de l’histoire américaine.

 

L’Alliance judéo-noire

L’opération révolutionnaire qui a transformé le Noir en un guerrier par procuration pour les Juifs est connue sous le nom d’Alliance judéo-noire. Murray Friedman, qui était autrefois à la tête de la section de Philadelphie de l’American Jewish Committee, annonçait déjà sa disparition dans What Went Wrong ? The Creation & Collapse of the Black-Jewish Alliance (La création et l’effondrement de l’alliance judéo-noire)

L’alliance judéo-noire était née avec la création de la National Association for the Advancement of Colored People, dans le sillage du lynchage de Leo Frank, le pédophile juif qui avait assassiné Mary Phagan, une employée de 12 ans dans l’usine de crayons de sa famille. La NAACP est la création de Joel Spingarn, un avocat juif de New York, et c’est une opération totalement juive qui, dès le départ, s’est attachée à transformer les Noirs en guerriers par procuration pour le compte des juifs. L’homme qui a découvert cela à ses dépens est Marcus Garvey, le charismatique leader nationaliste noir de Harlem, né en Jamaïque, qui a été la première victime de la vigilance de la NAACP. Après avoir visité le siège de la NAACP, Garvey a découvert qu’il n’y avait pas un seul avocat noir au service de cette organisation. Le seul Noir de la NAACP était son homme de paille communiste formé à Harvard, W.E.B. DuBois, dont le rôle principal fut de faire passer Garvey à la trappe avec l’aide d’un juge juif, afin de détruire le nationalisme noir et d’introduire l' »intégration » comme seule alternative acceptable pour les Noirs américains. Amy Spingarn, épouse de Joel Spingarn, a contribué à créer la Renaissance de Harlem, une autre opération juive, en devenant le mécène du poète noir Langston Hughes.

Puis l’Alliance judéo-noire atteint son apogée dans les années 1950 et 1960 avec l’avènement du mouvement des droits civiques, Stanley Levison étant le collecteur de fonds et le collecteur de fonds juif de Martin Luther King. Des Juifs comme Abraham Heschel ont bénéficié d’un prestige culturel en s’associant aux leaders des droits civiques, comme ils l’ont fait lors de la marche sur Washington de 1963, qui a été le point culminant du mouvement, mais cette collaboration de haut niveau a eu un prix, payé par les petits Juifs dans des endroits comme Crown Heights à Brooklyn, où ils se sont retrouvés victimes de la criminalité de rue des Noirs. Abraham Heschel, bien sûr, a gagné cet odieux prestige « honnêtement» en trompant les shvartzes qui venaient dans son magasin dans des endroits comme Harlem, ce qui a debouché sur une explosion de violence en 1937 lorsque les Noirs en ont eu assez d’être roulés dans la farine. Fiorella LaGuardia – le maire juif de New York au nom italien – faisait de son mieux pour présenter les émeutes de Harlem comme un conflit entre Noirs et Blancs, mais tout le monde savait qu’il s’agissait d’une bataille entre Noirs et Juifs à propos de ce que Georg Ratzinger a appelé  les « juedisches Erwerbsleben », ou pratiques commerciales juives « acérées ».

La même chose s’est produite à Philadelphie en 1964, lorsque des émeutes ont éclaté sur Columbia Avenue, dans le nord de Philadelphie. L’incident qui avait déclenché l’émeute était une querelle domestique, mais la cause à long terme était le comportement des commerçants juifs du type dont Heinrich Graetz se plaignait au 19e siècle lorsqu’il écrivait que la seule chose que les Juifs polonais avaient appris en étudiant le Talmud était l’art de tromper les goyim.

Livre: L'esprit révolutionnaire juif, par E Michael Jones

[Voir dans l’ouvrage ci-dessus, publié aux édition Saint-Rémi en 2019, les chapitres XVII et suivants] 

La réaction juive contre l’Alliance judéo-noire

La réaction juive contre l’Alliance judéo-noire est survenue après son plus grand triomphe lors de la manifestation pour les droits civiques à Washington, lorsque Norman Podhoretz, a publié « My Negro Problem and Ours », dans Commentary, le magazine phare de l’American Jewish Committee, en 1963. Tout le monde sait que Wikipédia est contrôlée par les Juifs, mais la question de savoir quels Juifs la contrôlent devient un sujet brûlant lorsque nous lisons la notice en ce qui concerne le célèbre essai de Podhoretz :

 

L’essai traite du racisme de Podhoretz, qu’il appelle « la haine que je ressens toujours pour les Nègres », en se basant sur ses interactions avec les Afro-Américains alors qu’il grandissait en tant que garçon juif blanc de la classe ouvrière à Brownsville, Brooklyn. Dans son quartier intégré, la plupart des gens étaient soit afro-américains, soit blancs. Les Blancs étaient pour la plupart des Italiens qui parlaient italien et dont les grands-parents avaient immigré de Sicile, ou bien des Juifs ashkénazes parlant yiddish et issus de l’immigration d’Europe de l’Est. Dans son essai, Podhoretz relate des incidents d’intimidation de la part d’enfants afro-américains du quartier [1]. Il raconte qu’enfant, il se sentait « perplexe » à l’idée que « tous les Juifs étaient riches » et que « tous les Noirs étaient persécutés », parce que son observation était que « les seuls Juifs que je connaissais étaient pauvres » et que les Noirs « exerçaient la seule persécution que je connaissais – et en plus, sur mon dos ». Podhoretz relate un incident au cours duquel un ami noir non juif l’avait frappé et avait refusé de jouer avec lui parce que « j’avais tué Jésus » ; après avoir demandé une explication à sa mère, celle-ci avait « maudit les goyim et les « Schwartzes » en yiddish et lui avait dit d’ignorer « une telle bêtise. » Malgré son dégoût explicite pour les mariages interraciaux, Podhoretz écrit que la généralisation des mariages mixtes et l’effacement consécutif des différences raciales pourraient être une solution au racisme : « Je crois que la fusion en gros des deux races est l’alternative la plus souhaitable pour toutes les personnes concernées » [7].

Ce genre d’acrimonie n’était jamais loin de la surface artificiellement sereine de l’Alliance judéo-noire. Alors que les Juifs se montraient de plus en plus impérieux dans leurs décisions, les Noirs étaient de plus en plus irrités de recevoir des ordres. La tempête éclate en 1967 avec la publication du livre de Harold Cruse, The Crisis of the Negro Intellectual. Cruse a fini par diriger le programme d’études noires de l’université du Michigan, mais il avait commencé dans la vie comme membre du parti communiste de Harlem, où lui et d’autres Noirs s’étaient lassés de servir de chair à canon pour des causes essentiellement juives.

La grève des enseignants d’Ocean Hill-Bronswille et la guerre de 1967

La même année a lieu la grève des enseignants d’Ocean Hill-Brownsville, qui oppose les parents noirs qui ont pris le contrôle du conseil scolaire aux enseignants juifs, lesquels se voient licenciés parce qu’ils sont juifs. Le clou final a été enfoncé au cours de la même année avec le déclenchement de la guerre israélo-arabe. À ce moment-là, les Juifs américains qui en avaient assez des shvartzes ingrats ont transféré leur allégeance et leur argent vers Israël, inaugurant ainsi la montée du néoconservatisme comme force puissante dans la politique américaine. Le néoconservatisme était bien des choses, mais d’un point de vue intra-juif, il s’agissait d’une protestation de la part des petits Juifs contre les grands Juifs qui avaient obtenu la vedette en s’investissant dans l’Alliance judéo-noire. En l’occurrence, les petits Juifs sont les enseignants du système scolaire public de New York qui ont été licenciés lorsque les Noirs ont pris le contrôle du conseil scolaire d’Ocean Hill-Brownsville. Al Shanker prenait fait et cause pour eux, au grand dam des grands Juifs qui avaient tout intérêt à minimiser l’animosité entre Noirs et Juifs.

 

La question de l’usurpation d’identité dans l’affaire Kyrie Irving

Alors qu’il semblait que les excuses de Kyrie Irving allaient mettre fin à l’accès de fureur de l’ADL, Irving a été traîné devant les caméras une fois de plus et a déclaré de façon énigmatique : « Lorsque vous trouvez votre identité, vous échappez à la confusion. Il y a beaucoup de fausses informations sur qui nous sommes en tant que Noirs. Le peuple sémite est un peuple noir, donc je ne peux pas être antisémite »[8].

Cette déclaration a rendu l’ADL encore plus furieuse que le premier tweet, ce qui l’a poussée à lui rendre son don de 500 000 dollars. Adidas a ensuite annulé le contrat d’achat de baskets d’Irving, et d’autres sanctions se sont profilées à l’horizon, ce qui a incité Irving à menacer de se retirer du jeu. C’est alors que l’ADL est revenue à la charge et a identifié la remarque énigmatique de Kyrie comme étant l’expression de l’un des principes de la secte des Israélites hébreux noirs, qui :

« comprennent des affirmations selon lesquelles les Juifs n’ont aucun droit sur Israël en tant que patrie, des affirmations selon lesquelles Israël ne sera pas fécond tant qu’il n’aura pas été rendu aux Israélites, des accusations selon lesquelles les Juifs ont délibérément asservi des Noirs pour leur voler leur identité et des affirmations selon lesquelles les Juifs sont des imposteurs ou des satanistes » [9].

Cela a immédiatement mis Kyrie sur la défensive en déplaçant le centre de gravité de la discussion du pesant contrôle de la pensée juive vers les croyances bizarres d’un groupe de Noirs qui pensaient qu’ils étaient les vrais Juifs et que ceux qui se disaient Juifs étaient un groupe de menteurs qui constituaient la « synagogue de Satan ». Les adeptes de la secte Black Hebrew Israelites aiment citer le verset de l’Apocalypse 3:9, dans lequel l’Ange de l’Église de Philadelphie (pas la ville où jouent les Sixers) déclare que « ceux qui font profession d’être juifs… sont des menteurs ».

À ce stade, la question du vol d’identité est donc entrée dans la discussion. Tout comme les Israélites hébreux noirs affirmaient que ceux qui se disaient juifs étaient des menteurs qui appartenaient à la Synagogue de Satan, l’ADL, tout aussi catégorique, affirmait que :

« Les BHI (Israélites hébreux noirs) ne sont pas des Juifs et les Juifs noirs ne sont pas les mêmes que les Israélites hébreux noirs. Les Juifs noirs et les Juifs de couleur sont de véritables membres de la foi juive. Les BHI s’identifient spécifiquement aux Israélites bibliques et considèrent le judaïsme, le christianisme et l’islam comme de fausses religions. De nombreux enseignants BHI affirment que les Juifs et d’autres Blancs ont forcé les Noirs à adhérer à d’autres religions. Des factions extrêmes pensent que les Juifs blancs perpétuent le vol d’identité [10].

 

Il s’avère que les deux camps avaient raison dans la mesure où ils étaient d’accord pour dire que le vol d’identité était le principal problème à l’origine de la crise Kyrie. Dans l’un des nombreux podcasts qui ont traité de la question, Kyrie a déclaré que c’était maintenant la « saison pour aller retrouver sa tribu ». Il s’agit vraiment de se connecter à sa lignée et de l’apprécier. Quand vous trouvez votre identité, vous n’êtes plus dans le brouillard.[11] À ce moment-là, le mec noir en chemise Gucci qui interviewait Kyrie a hoché la tête pour approuver, sans apparemment se rendre compte du fait que tous les artistes, sportifs et influenceurs noirs étaient complices du vol de l’identité noire.

C’est pourquoi ils sont payés des sommes aussi scandaleuses pour faire la promotion de T-shirts Gucci et de chaussures Adidas. Dans la même vidéo, Nick Cannon, qui a finalement été licencié par Viacom en raison des commentaires prétendument racistes et antisémites qu’il a tenus sur son podcast, exprimait sa sympathie pour Kyrie pour avoir été soumis au même régime d’intimidation et de contrôle. « Ils me neutralisent, me séparent de mon groupe » parce que « j’ai juste parcouru l’histoire qui m’a été donnée par mes aînés ».

 

Le cas de Malcolm X

Ces aînés comprenaient Malcolm X, qui a construit une carrière basée sur la dénonciation du vol d’identité, en demandant :

« Qui êtes-vous ? Vous ne le savez pas. Ne me dis pas Nègre. Qu’étiez-vous avant que l’homme blanc ne vous nomme Nègre ? Et où étiez-vous et qu’aviez-vous ? Qu’est-ce qui était à toi ? Quelle langue parliez-vous alors ? Quel était ton nom ? Ça ne pouvait pas être Smith ou Jones. Pourquoi ne sais-tu pas quel était ton nom ? Où l’as-tu perdu ? Qui te l’a pris ? Quelle langue parlais-tu ? Comment l’homme a-t-il pris ta langue ? Où est ton histoire ? Comment l’homme a-t-il effacé votre histoire ? »

Si Malcom X se sentait si fort au sujet du vol d’identité c’est parce qu’il en était la victime. Nous savons que Malcom X a dit « Comment l’homme a-t-il effacé votre histoire ? » parce que nous l’avons entendu de sa propre bouche sur la même vidéo. Malheureusement, nous ne pouvons pas en dire autant de son autobiographie, qui a été écrite par Alex Haley, qui est devenu célèbre en écrivant un livre qui est devenu une mini-série dans les années 70 sur Haley qui aurait retrouvé ses ancêtres en Afrique. L’autobiographie de Malcolm X et Roots, qu’il a plagiés à partir d’autres sources, sont tous deux des exemples d’usurpation d’identité. Il en va de même pour l’autre autobiographie noire célèbre des années 1960, Soul on Ice, qui a été rédigée par la rédaction juive du magazine Ramparts à partir de fragments arrachés à une autre source juive, à savoir l’essai de Norman Mailer intitulé « The white Negro« .

 

À partir de la Renaissance de Harlem, le nègre est devenu un fantasme sexuel juif qui a été utilisé pour corrompre les mœurs de la nation par la promotion d’artefacts culturels comme le jazz, une autre création juive, et de divers films comme Shaft et Superfly, sous la supervision du célèbre photographe du magazine Life Gordon Parks, et de romans comme Nigger Heaven, de Carl van Vechten et Home to Harlem de Claude McKay. Le nègre était un fantasme sexuel créé par des Juifs comme Mailer pour des garçons blancs catholiques comme Jack Kerouac, qui décrivait dans son roman Sur la route comment il errait dans le crépuscule de Denver « en souhaitant être un nègre » à cause des « putain de coups de pied » qui découlaient de cet état d’être exalté.

Malcolm X a joué son rôle dans ce drame en devenant un homme prostitué. Mais après avoir été submergé par la honte de sa déviance sexuelle (et de celle de son père), il a utilisé la race pour détourner son attention et celle de ses disciples noirs de problèmes sexuels plus profonds comme l’illégitimité [La grand-mère de Malcolm X avait été violée par un Blanc, cas classique]

 

L’identité religieuse

Laissé seul et à la dérive après que les Juifs eurent perpétré cette usurpation d’identité à leur égard, le Noir s’est inventé une identité religieuse fondée sur l’inversion du racisme américain. Selon Nick Cannon, qui exposait cette religion à Kyrie dans la vidéo déjà mentionnée, les Noirs sont une race supérieure en raison de l’abondance de mélanine, le pigment de leur peau.

« La mélanine », selon Cannon, « est liée avec la compassion. Nous l’appelons l’âme. Nous sommes des frères et sœurs d’âme. C’est la mélanine qui nous relie. Les gens qui ne l’ont pas ont quelque chose en moins…. Ils agissent par carence. Nous sommes le peuple sémite qu’ils voudraient être. La seule façon dont ils peuvent agir est par le mal. Nous, [sic] le peuple mélanisé ».

Cannon tient cette idée de ses « anciens », un groupe qui comprend l’ancien professeur du City College de New York Leonard Jeffries, partisan de la théorie de la mélanine, selon laquelle « une plus grande pigmentation de la peau rend les Noirs intrinsèquement supérieurs aux Blancs » [12]. Jeffries affirme que la mélanine rend les Noirs « compatissants et pacifiques », alors que son absence chez les Blancs les rend « violents et cruels » [13].

 

Privé d’une éducation décente, mais fréquentant souvent des institutions comme l’université de Harvard, où il s’imprègne d’idéologies comme la théorie de la race critique concoctée par le professeur juif Noel Ignatiev, le Noir concocte des fantasmes théologiques pour s’opposer aux fantasmes sexuels que les Juifs lui ont imposés. Il s’avère que les mélanés sont des Blancs mis à l’envers et à la renverse. Au lieu de la règle du Sud, selon laquelle une goutte de sang noir disqualifiait une personne de l’appartenance à la race blanche, le Noir est devenu racialement supérieur grâce à la mélanine contenue dans sa peau, sans percevoir qu’il épouse le même racisme que celui auquel il prétend s’opposer.

L’islam et le Logos

En cela, il n’est pas sans rappeler les Arabes de l’époque du prophète Mahomet, qui entendaient des récits miraculeux en syriaque en provenance du Hejaz, où la Bible avait été traduite dans cette langue. Les Arabes ont alors essayé de transposer ces contes miraculeux en arabe sans les catégories philosophiques nécessaires qui leur auraient permis de comprendre cette étrange nouvelle religion connue sous le nom de christianisme. Voilà comment, selon ce calcul, l’Eucharistie est devenue une histoire de table volante, et le Logos un livre [14].

 

De même, les BHI ont pris des passages comme Apocalypse 3 décrivant ceux qui se disent juifs comme des menteurs constituant la synagogue de Satan et ont créé un récit d’usurpation d’identité autour de cela, de la même manière que les Arabes, qui n’avaient pas de mot et donc pas de catégorie comme le Logos dans leur langue, l’ont réduit à un objet concret comme un livre afin de le comprendre. Il en va de même pour la question de l’identité qui se trouve au cœur de l’Évangile de saint Jean, lorsque la prétention des Juifs à être les enfants de Moïse est rejetée par le Christ.

L’enseignement catholique selon lequel ceux qui appartiennent à l’Église sont le véritable Israël a subi une transformation similaire de la part des Israélites hébreux noirs lorsqu’il a été réfracté à travers la lentille de la race, qui était la catégorie dominante dans l’esprit des Noirs lorsque ces idées sont apparues. En plus du concept commun de l’identité raciale, les Juifs et les Noirs avaient des récits concurrents sur l’identité du peuple élu. Les deux facettes de cette arme binaire sont restées en sommeil dans leurs ghettos respectifs, jusqu’à ce qu’elles se rejoignent dans la zone frontière entre Noirs et Juifs connue sous le nom de NBA, où 70 % des joueurs sont noirs et plus de 60 % des propriétaires sont juifs.

 

La fin de l’Alliance judéo-noire

 

Murray Friedman est mort en 2018 à l’âge de 77 ans sans savoir que sa nécrologie annonçant la disparition de l’Alliance judéo-noire était prématurée. Comme l’ampoule électrique qui brille le plus juste avant de s’éteindre, l’alliance judéo-noire a connu un moment bref mais spectaculaire au lendemain du jeu de massacre autour de George Floyd, lorsque Black Lives Matter, drapé dans le manteau révolutionnaire juif s’est livré à une orgie de pillages, d’incendies criminels et de collectes de fonds dans les grandes villes d’Amérique.

 

La NBA a été l’un des principaux soutiens du chaos et des activités révolutionnaires de Black Lives Matter. Le basketteur LeBron James n’a pas hésité à prendre la défense de BLM. Les joueurs de la NBA ont été incités à porter l’insigne de BLM parce que Black Lives Matter faisait partie de l’Alliance judéo-noire dans laquelle les guerriers ( noirs) par procuration  obéissaient docilement à leurs maîtres révolutionnaires juifs. BLM était la rébellion d’esclaves pour laquelle les Juifs priaient depuis le lynchage de Leo Frank, mais elle n’a pas duré longtemps, grâce à la paranoïa juive canalisée par Jonathan Greenblatt à l’ADL.

Le magazine Commentary s’était opposé à la nomination de Greenblatt dès le début parce que Greenblatt était arrivé à l’ADL directement depuis le parti démocrate, où il avait conçu de nouvelles techniques de collecte de fonds en utilisant la carte antisémite pour canaliser l’argent des grandes entreprises vers des ONG comme Black Lives Matter. Quelques mois après les émeutes occasionnées par la mort de George Floyd, des articles ont commencé à circuler sur la façon dont les trois dirigeantes de BLM s’étaient enrichies en s’appropriant les contributions qui inondaient les coffres de BLM et en utilisant cet argent pour investir dans des biens immobiliers coûteux. Ainsi, comme l’avait prédit Eric Hoffer, la cause sacrée connue sous le nom d’Alliance judéo-noire, qui avait commencé comme un mouvement de protestation, est devenue une entreprise, et a fini par dégénérer en racket lorsque ces dames de BLM ont commencé à s’emparer de biens immobiliers coûteux.

L’ADL contre les « petits juifs »

L’attaque de l’ADL contre Kyrie Irving a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase du mouvement subversif le plus réussi de l’histoire américaine. Alors pourquoi les juifs ont-ils fait quelque chose d’aussi stupide ? S’agit-il simplement de la synagogue aux yeux bandés qui prouve que Dieu est aux commandes de l’histoire de l’humanité, par une ruse de la raison, une fois de plus, alors que les Juifs ont produit l’exact opposé de ce qu’ils voulaient en aliénant leurs clients et co-belligérants noirs de BLM ?

 

Le mouvement des Israélites hébreux noirs dans des endroits comme New York City a toujours été un point névralgique dans les relations intra-juives. Au moment où Greenblatt faisait la causette avec des courtiers de pouvoir noirs comme Al Sharpton, qui approuvait la violence contre les Noirs de Crown Heights, les Juifs du camp Podhoretz se faisaient tabasser par des Noirs hébreux israélites en colère qui continuaient à être les principales victimes des pratiques commerciales juives.

 

La véritable histoire est donc celle de l’usurpation d’identité, mais il s’avère que l’ADL ne s’est pas seulement livrée à l’usurpation d’identité des Noirs, mais qu’elle l’a perpétrée contre des compatriotes juifs. L’ADL, sous la direction de Greenblatt, a vendu les petits juifs pour s’attirer les faveurs des courtiers en pouvoir noirs du parti démocrate. C’est ce qui a conduit Leil Leibovitz à demander la dissolution de l’ADL, car « lorsqu’il s’agit des Juifs », l’ADL « nous fait plus de mal que de bien »[15].

 

Selon Leibovitz, l’ADL est le nom d’un autre « racket sans âme qui vient de faire comprendre que l’on peut dire ce que l’on veut sur les Juifs et acheter ses indulgences à prix réduit »[16] Les Juifs « ne devraient pas vouloir que notre principal groupe de défense se comporte d’une manière qui fasse avancer les théories conspirationnistes antisémites sur des Juifs de l’ombre qui trafiquent de l’argent et de l’influence pour le plaisir et le profit ». Le cafouillage de l’incident Kyrie a forcé Leibovitz à conclure que : « Il est temps de lâcher l’ADL. On ne peut pas la tuer, alors nous devons nous éloigner de cette organisation autrefois vénérable, et l’affaiblir avant qu’elle ne dévie tellement du droit chemin qu’elle nous entraîne avec elle » [17] L’ADL ne représente pas les intérêts juifs. Elle est devenue « une machine d’attaque partisane, alimentée par l’argent des entreprises et de plus en plus inconsciente de toute souffrance réelle de tout juif réel » [18].

 

Abe Foxman et Jonathan Greenblatt

Le tournant crucial s’est produit en 2015 lorsque Jonathan Greenblatt a remplacé Abe Foxman à la tête de l’ADL. Leibovitz fait référence au prédécesseur de Greenblatt, Abe Foxman, comme  » un survivant de l’Holocauste qui avait passé la guerre à se cacher avec sa nounou catholique  » et qui, par la suite,  » a gagné sa réputation d’autorité morale sérieuse qui n’avait pas peur de prendre des positions impopulaires.  » [19] Il s’agit en fait d’un autre exemple d’usurpation d’identité, cette fois de l’identité d’Abe Foxman. Les parents juifs biologiques de Foxman l’avaient abandonné peu avant l’arrivée des nazis en Pologne. Abe fut remis à une femme polonaise qui l’adopta et le fit baptiser catholique. À la fin de la guerre, les parents de Foxman sont revenus et ont exigé que la femme leur rende Foxman, mais le petit Abe ne voulait pas quitter sa mère adoptive polonaise, si bien qu’un procès a été intenté et qu’il a été décidé qu’Abe devait retourner auprès de sa mère et de son père juifs, qui l’avaient pourtant abandonné.

 

L’usurpation d’identité tourne autour de la légitimité. Leibovitz dissimule le fait qu’Abe Foxman est devenu catholique et l’est resté parce que le baptême laisse une marque indélébile sur l’âme ; cela s’est produit pour une raison et une seule, à savoir parce que ses parents biologiques l’avaient abandonné. Foxman avait un lien direct avec l’Holocauste, mais la carrière de Greenblatt n’avait rien à voir avec ce que Norman Finkelstein et d’autres ont appelé le « Shoah business »[20] Greenblatt a gravi les échelons du parti démocrate en tant qu’homme qui a compris comment canaliser les dons des grandes entreprises vers des ONG qui pouvaient ensuite s’engager dans des activités révolutionnaires. La « véritable compétence » de Greenblatt, selon Leibovitz, consistait à « savoir comment blanchir l’expansion du pouvoir obscène des entreprises, en se cachant derrière une droiture supposée »[21] :

« Cela faisait de lui un candidat parfait pour le Bureau de l’innovation sociale et de la participation civique, une création de l’administration Obama essentiellement conçue pour permettre à la Maison Blanche de contrôler les dons et les investissements d’une grande partie de l’énorme secteur à but non lucratif des États-Unis. Plutôt que de faire fonctionner les ONG de manière autonome, l’idée, apparemment, était que l’administration donne des ordres de marche, fixe des agendas et exerce une pression suffisante pour que les entreprises et la classe des donateurs suivent le mouvement.

Si vous voulez voir cette synergie entre les entreprises américaines, les causes sociales et le parti démocrate en action, il suffit de regarder le mouvement Black Lives Matter, qui a, à ce jour, récolté 49,5 milliards de dollars de promesses de dons de la part des entreprises sans rien offrir en termes de transparence ou de responsabilité » [22].

 

BLM : un outil pour faire tomber Trump

Le point culminant de cet arrangement est arrivé au lendemain de la mort de George Floyd, lorsque l’ADL, la NBA et le parti démocrate ont créé Black Lives Matter comme leur moyen de faire tomber la présidence Trump.

Afin de ressusciter l’alliance judéo-noire en sommeil, l’ADL a dû modifier sa définition du racisme, qui était jadis « la croyance qu’une race particulière est supérieure ou inférieure à une autre, [et] que les traits sociaux et moraux d’une personne sont prédéterminés par ses caractéristiques biologiques innées ». Greenblatt et l’ADL sont parvenus en 2020 à une nouvelle définition du racisme comme « la marginalisation et/ou l’oppression des personnes de couleur sur la base d’une hiérarchie raciale socialement construite qui privilégie les Blancs ». Puisque la plupart des Noirs et de nombreux Juifs considéraient les Juifs comme des Blancs, Greenblatt accusait désormais les Juifs de racisme. Cette nouvelle définition mettait également en danger les petits Juifs de Brooklyn et de Newark lorsqu’ils entraient en contact avec des Israélites hébreux noirs agressifs. Le mouvement BHI est particulièrement actif dans des endroits comme Brooklyn où Noirs et Juifs s’affrontent de manière hostile sur les mêmes questions qui avaient précipité les émeutes de Harlem en 1937. Dans des endroits comme Newark, les propriétaires noirs s’acharnaient à escroquer leurs locataires noirs en augmentant les loyers pour les chasser et les remplacer par des yuppies blancs ou juifs qui avaient plus de revenus disponibles. Cela a conduit à des attaques de Noirs hébreux israélites contre des Juifs dans les supermarchés du New Jersey. A ce moment-là, l’ADL était devenu « un opérateur efficace et furtif, progressiste et partisan », qui « met en fait les vrais Juifs en danger, parce que n’importe qui peut maintenant prétendre que les discours sur la montée de l’antisémitisme ne sont que de la propagande politique » [23].

La solution de Leibovitz est de couper les liens entre les Juifs et l’ADL.

« Acceptons que l’ADL ne soit plus une organisation juive et demandons le divorce. Greenblatt peut tout garder : son organisation antiraciste, son AstroTurf et tous les arbres à fric des entreprises qu’il secoue en son nom. Nous, les juifs amchas, ne partons avec rien – rien, en fait, si ce n’est notre dignité et notre sécurité, toutes deux améliorées par le fait de ne plus être des pions dans un jeu de profit qui nous met chaque jour davantage en danger » [24].

Mais cela ne résoudra pas le problème pour le reste d’entre nous, car le véritable problème pour les goyim n’est pas que l’ADL soit devenu un auxiliaire du parti démocrate, mais que le parti démocrate, comme la NBA, soit devenu un auxiliaire juif de l’ADL.

Leibovitz présente le raisonnement qui sous-tend le soutien de l’ADL à l’alliance judéo-noire au sein du parti démocrate lorsqu’il écrit que « la logique ici est que l’ADL est dix fois plus puissante lorsqu’elle fait partie de la coalition du parti démocrate qu’en dehors ». Leibovitz affirme que cet arrangement « fonctionne pour toutes les personnes impliquées… sauf pour les véritables Juifs. Ils laissent tomber les intérêts juifs en échange de l’autorisaition de mener un racket de protection ». Parce qu’en échange de la permission de tenir la carte juive, l’ADL accepte de jouer cette carte au nom du parti ». Cela signifie ignorer les « pogroms » d’Al Sharpton, parce qu’il est membre de la coalition démocrate, en vendant les petits juifs qui font les frais de l’animosité raciale que l’ADL génère pour conserver son siège à la table démocrate. Leibovitz est forcé de conclure que dans sa dernière incarnation, « l’ADL sous Greenblatt peut très bien, par inadvertance ou non, contribuer à la croissance de l’antisémitisme, et non à sa diminution »[25].

Le parti démocrate, les Noirs, et les Juifs

Mais ce n’est que la moitié de l’histoire. L’effet que les démocrates ont sur les juifs est absent du compte rendu de Leibovitz, mais aussi l’effet que les juifs ont sur les démocrates. Le procureur Merrick Garland est un bon exemple de cet effet. Garland a transformé le ministère de la Justice en un bras long de la vengeance juive contre quiconque s’oppose à l’ordre du jour woke, c’est-à-dire au plan juif de déconstruction sociale et de contrôle politique. C’est le rôle que joue Dana Nessel, la procureure générale lesbienne juive, dans le Michigan. Dana Nessel est bénéficiaire de l’argent de George Soros, et comme Larry Krasner à Philadelphie et Kim Fox à Chicago, Chesa Boudin à San Francisco (avant qu’il ne soit rappelé), et George Gaston à Los Angeles, les procureurs de Soros peuvent retourner le système juridique contre toute personne qui offense les sensibilités juives. Un bon exemple est celui des catholiques pro-vie, qui sont maintenant traités comme de dangereux criminels, le FBI se montrant dans des raids avant l’aube, calculés pour semer la terreur parmi la population catholique pro-vie.

L’application de la loi juive aux USA

Le principal problème politique auquel l’Amérique est confrontée en ce moment est l’application de la loi juive. Il existe des preuves irréfutables de fraude électorale en Pennsylvanie, où le peuple a choisi comme sénateur un démocrate atteint de troubles cérébraux qui avait du mal à aligner deux phrases et qui, en comparaison, faisait passer Joe Biden pour un nouveau Démosthène. De même, les électeurs du Michigan ont réélu une lesbienne juive qui estimait que chaque école de l’État devait employer une drag queen parce que les drag queens sont « amusantes » (et constituent un bon moyen de corrompre la morale d’enfants innocents). Selon Emerald Robinson, de Frank News :

 

« La victoire de candidats comme Blake Masters et Kari Lake en Arizona, Herschel Walker en Géorgie, Dr Oz et Doug Mastriano en Pennsylvanie n’intéressait pas le « marigot », non plus que la poursuite de la carrière de « fauteurs de troubles » comme Lauren Boebert et Ron Johnson. Remarquez que presque tous les scrutins en question sont actuellement « trop serrés » pour que les résultats soient publiés, ou bien on tranche pour le candidat démocrate bien avant que les votes puissent être comptés [26]. »

 

Tant que ce sont les Juifs qui se chargent de l’application de la loi, nous ne saurons jamais si ces accusations sont vraies, parce que les Juifs n’appliqueront pas la loi de manière équitable. Josh Shapiro a utilisé la loi pour attaquer l’Église catholique. Va-t-il enquêter sur le processus qui l’a mis en place ? Dana Nessel va-t-elle enquêter sur le processus qui a consacré l’avortement dans le Michigan ? C’est la même dame qui a dit que chaque école du Michigan devrait employer une drag queen pour corrompre la morale des écoliers parce que les drag queens sont « amusantes ».

 

Dana Nessel va-t-elle enquêter sur la fraude électorale qui l’a mise en place ? Pas selon Robinson, qui a décrit « une énorme chute de données » dans le Michigan qui a placé Dana Nessel en tête tard dans la soirée du soir de l’élection [27. ] Jim Hoft de Gateway Pundit avait conclu son article en déclarant « Il faut enquêter là-dessus. Ce n’est pas normal » [28] Mais ni Dana Nessel ni Josh Shapiro ne vont se pencher sur la question à cause du problème … des forces de l’ordre juives.

 

La persécution des catholiques pro-vie

Si les catholiques se demandent à quoi s’attendre après l’entrée en fonction de Josh Shapiro, ils doivent s’intéresser à Mark Houck, un militant pro-vie catholique qui a été traîné hors de sa maison dans le comté rural de Bucks par 30 des hommes de main du FBI de Merrick Garland ; ils se sont présentés avec des flingues prêts à tirer lors d’un raid avant l’aube pour arrêter Houck pour un incident qui s’était produit à l’extérieur d’une clinique d’avortement. L’incident était si insignifiant que même le procureur Soros de Philadelphie, Larry Krasner, a refusé de le prendre au sérieux en déclenchant des mises en accusation. L’effet sur la famille de Houck, cependant, était loin d’être insignifiant. Mme Houck a fait une déclaration sur Fox News :

La femme de l’activiste catholique pro-vie qui a été arrêté devant leurs enfants par des dizaines d’agents fédéraux lourdement armés a déclaré à Fox News que le raid « dévastateur » a laissé leur famille traumatisée et désemparée. » [29] Dans une interview précédente, Mme Houck avait déclaré que 30 agents avaient fait irruption chez eux avec « des armes à feu prêtes à tirer », mettant à son mari des « chaînes, sous le nez des enfants paralysés par la peur. »[30].

 

Houck ne savait manifestement pas que l’avortement était un sacrement juif. Il ne savait pas non plus que les procureurs juifs considèrent les protestations devant les cliniques d’avortement comme un sacrilège. L’avortement a transformé les femmes catholiques en juifs, c’est pourquoi, avec la fraude électorale qui ne fait pas l’objet d’enquêtes, le juif qui est maintenant gouverneur de Pennsylvanie entrera en fonction en supposant qu’il a un mandat pour persécuter les catholiques pro-vie.

 

L’avocat de Houck, Peter Breen, a qualifié le raid de « scandaleux et injustifié »[31], mais a omis de souligner que l’avortement protège les juifs qui contrôlent le récit, en leur permettant de promouvoir la division raciale, car la division raciale empêche que se constitue un front unifié contre l’oppression juive. Kanye West représentait une menace sérieuse pour le récit racial lorsqu’il a revêtu un T-shirt White Lives Matter et qu’il a proposé le christianisme comme source d’unité sociale qui pourrait unir les Noirs et les Blancs au-delà de la division raciale que les Juifs leur ont imposée.

 

Les chaînes en or, selon Dave Chappelle et Kanye West

Le 12 novembre 2022, Dave Chappelle est entré dans l’histoire lorsqu’il a fait un monologue d’ouverture au Saturday Night Live qui était à la fois un chef-d’œuvre rhétorique de la comédie de stand-up et un avertissement voilé aux juifs pour qu’ils fassent marche arrière [32]. Le monologue de Chappelle commençait par une déclaration d’allégeance factice aux maîtres juifs qui n’existent pas mais qui contrôlent néanmoins le récit depuis leur lieu de non-existence. [Voir un extrait de son sketch ici]. Chappelle a ensuite raconté une anecdote à propos de Kanye West qui reprochait aux millionnaires noirs de porter des chaînes en or, chose qui était indigne pour les milliardaires noirs comme Kanye lui-même. Les chaînes en or jouent un rôle symbolique important dans la communauté noire. Elles sont à la fois un accessoire de mode et un clin d’œil, le signe que la soumission à l’agenda juif peut leur apporter des récompenses substantielles.

 

Quand Kanye disait que seuls les millionnaires noirs portaient des chaînes en or, sa valeur nette à lui personnellement se chiffrait en milliards. Lorsqu’il a agi en croyant que ses milliards le rendaient plus puissant que les Juifs qui le contrôlaient, il a perdu 1,5 milliard de dollars en une nuit. Cette leçon n’a pas échappé à Dave Chappelle, qui a semblé briser tous les tabous au cours de son monologue, mais qui s’est finalement révélé être un membre loyal du parti démocrate, qui a soutenu la guerre en Ukraine et a attaqué Herschel Walker en dépit de sa noirceur de peau parce qu’il était républicain.

Le rôle d’Obama

Chappelle avait été mandaté par Obama, qui l’avait fréquemment invité à la Maison-Blanche, pour dire aux Juifs qu’il était le « Head Nigga in Charge » (le haut représentant des nègres) du parti démocrate, et que si les Juifs voulaient un siège à la table, ils feraient mieux de prêter attention à ce que Chappelle disait au nom des Noirs. Cela incluait également un geste de pardon pour Kanye, mais seulement s’il suivait les instructions, qui étaient, comme l’a dit Chappelle, « tu remets ta chaîne, négro, et tu es le bienvenu. » Le monologue de Chappelle était un chef-d’œuvre de message politique indirect. Personne n’a jamais mieux décrit les conditions de la soumission des Noirs à l’agenda juif que Dave Chappelle. Les chaînes en or que chaque rappeur et joueur de NBA porte comme un élément essentiel de sa garde-robe symbolisent les avantages de la servitude ainsi que le prix de l’indépendance, qui a coûté à Kanye 1,5 milliard de dollars en 24 heures. Si Kanye remet sa chaîne en or, il est le bienvenu dans le bercail connu sous le nom d’Alliance judéo-noire. Il s’agissait d’un geste de réconciliation avec Kanye, mais aussi d’une indication claire qu’Obama était aux commandes et que M. Greenblatt ferait mieux de faire attention s’il voulait continuer à être un acteur du parti démocrate. Dave Chappelle

Chappelle a terminé son audacieux monologue en revenant à la charge lorsqu’il a déclaré : « J’espère qu’ils ne m’enlèveront rien, qui qu’ils soient », ce qui a incité Jonathan Greenblatt à réagir en tweetant :

« Nous ne devrions pas attendre de @Dave Chappelle qu’il serve de boussole morale à la société, mais il est troublant de voir @nbcsnl non seulement normaliser mais populariser l’#antisémitisme. Pourquoi les sensibilités juives sont-elles niées ou diminuées à presque chaque tournant ? Pourquoi notre traumatisme déclenche-t-il des applaudissements ? »[33].

 

Ce à quoi j’ai répondu par un tweet :

« Oh, c’est que Jonathan Greenblatt n’a pas eu le mémo. C’est pourquoi Dave Chappelle a dû lui expliquer que c’est Obama le HNIC, l’ADL c’est fini. Pourquoi ‘notre traumatisme déclenche-t-il des applaudissements’ ? Parce que tout le monde sait maintenant que l’ADL a outrepassé son rôle. Mais plus important encore, maintenant tout le monde sait aussi que l’antisémitisme, c’est juste une blague. Bon travail, Jonathan. »

 

https://www.unz.com/ejones/put-yo-chain-on-nigga/

Traduction et édition: Maria Poumier

Notes

 

[1] https://www.nationalworld.com/news/people/what-does-defcon-3-mean-kanye-ye-wests-antisemitic-comment-explained-how-did-adidas-spotify-respond-3894636

 

[2] https://youtu.be/1KdbRQMNWI4

 

[3] https://radaronline.com/exclusives/2019/10/the-killing-of-marilyn-monroe-pocast-reveals-psychiatrist-ralph-greenson-shoved-needle-in-her-chest-murder/

 

[4] https://www.dailymail.co.uk/news/article-7868835/Campaign-Marilyn-Monroes-death-certificate-changed-probably-suicide-murder.html

 

[5] https://pressfortruth.ca/the-truth-about-harley-pasternak-hollywoods-personal-trainer-to-ye-dozens-of-others/

 

[6] https://pressfortruth.ca/the-truth-about-harley-pasternak-hollywoods-personal-trainer-to-ye-dozens-of-others/

 

[7] https://en.wikipedia.org/wiki/My_Negro_Problem%E2%80%94And_Ours

 

[8] https://www.adl.org/resources/backgrounders/extremist-sects-within-the-black-hebrew-israelite-movement

 

[9] https://www.adl.org/resources/backgrounders/extremist-sects-within-the-black-hebrew-israelite-movement

 

[10]

 

[11] https://youtu.be/25h9Yax28wE

 

[12] https://en.wikipedia.org/wiki/Leonard_Jeffries

 

[13] https://en.wikipedia.org/wiki/Leonard_Jeffries

 

[14] Cf. E. Michael Jones, Logos Rising : A History of Ultimate Reality, p. 299ff, et Gabriel Said Reynolds, The Emergence of Islam.

 

[15] https://www.tabletmag.com/sections/news/articles/no-more-adl-liel-liebovitz-kyrie-irving

 

[16] https://www.tabletmag.com/sections/news/articles/no-more-adl-liel-liebovitz-kyrie-irving

 

[17] https://www.tabletmag.com/sections/news/articles/no-more-adl-liel-liebovitz-kyrie-irving

 

[18] https://www.tabletmag.com/sections/news/articles/no-more-adl-liel-liebovitz-kyrie-irving

 

[19] https://www.tabletmag.com/sections/news/articles/no-more-adl-liel-liebovitz-kyrie-irving

 

[20] https://www.salon.com/2000/08/30/finkelstein_2/

 

[21] https://www.tabletmag.com/sections/news/articles/no-more-adl-liel-liebovitz-kyrie-irving

 

[22] https://www.tabletmag.com/sections/news/articles/no-more-adl-liel-liebovitz-kyrie-irving

 

[23] https://www.tabletmag.com/sections/news/articles/no-more-adl-liel-liebovitz-kyrie-irving

 

[24] https://www.tabletmag.com/sections/news/articles/no-more-adl-liel-liebovitz-kyrie-irving

 

[25] https://www.tabletmag.com/sections/news/articles/no-more-adl-liel-liebovitz-kyrie-irving

 

[26] https://www.thegatewaypundit.com/2022/11/emerald-robinson-mike-lindell-show-drop-roll-activities-key-2022-races/

 

[27] https://www.thegatewaypundit.com/2022/11/emerald-robinson-mike-lindell-show-drop-roll-activities-key-2022-races/

 

[28] https://www.thegatewaypundit.com/2022/11/emerald-robinson-mike-lindell-show-drop-roll-activities-key-2022-races/

 

[29] https://nypost.com/2022/09/29/wife-of-pro-life-activist-mark-houck-speaks-out-after-fbi-arrest/

 

[30] https://nypost.com/2022/09/29/wife-of-pro-life-activist-mark-houck-speaks-out-after-fbi-arrest/

 

[31] https://nypost.com/2022/09/29/wife-of-pro-life-activist-mark-houck-speaks-out-after-fbi-arrest/

 

[32] https://www.youtube.com/watch?v=_m-gO0HSCYk

 

[33] https://twitter.com/JGreenblattADL/status/1591838296283414529

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