Qui est Michel Dakar?
Michel Dakar est militant antisioniste et anti-impérialiste depuis plus de 20 ans.
Il a été arrêté à son domicile le jeudi 8 août dernier, attiré dans un piège pour le faire sortir de chez lui, et immédiatement menotté; son logement a été perquisitionné, ses ordinateurs et disques durs confisqués. D’abord emmené au commissariat d’Yvetot en Seine maritime, il a été transféré à l’hôpital psychiatrique de St Etienne du Rouvray, au titre de la procédure SDRE (internement contraint à la demande de l’Etat). Ni son entourage ni les médecins qui l’ont accueilli n’ont constaté de troubles psychiques chez lui. Dans la mesure où il avait été déjà menacé d’un internement comparable à Paris en 2006, tout donne à pense qu’il s’agit ici de tentatives renouvelées pour remettre à l’honneur certaines pratiques totalitaires.
A l’asile, les dissidents qu’on n’arrive pas à condamner pénalement de façon à les dissuader de poursuivre leurs réflexions critiques, et d’exercer leur liberté d’expression!
Michel Dakar connaît les lois, s’exprime beaucoup sur des questions juridiques. Si on ne l’enferme pas, il saura se défendre de toutes les incitations à … tout ce que vous voudrez + ceci cela et plus encore. Les gendarmes des brigades de Caudebec-en-Caux et d’Yvetot qui ont procédé à son arrestation avaient une longue liste de griefs, mais le Dr Marie Bur qui l’a examiné à l’hôpital de Rouen, a conclu à son irresponsabilité pénale.
Ci-dessous, quelques textes récents de Michel Dakar, sur son site (en français) http://the-key-and-the-bridge.net
Une guerre psychologique. Texte du 24 juillet 2024
Michel Dakar Villequier, le 24 juillet 2024 9, Route de Barre-y-va Villequier 76490 Rives-en-Seine Gendarmerie Nationale Commandement de la Région Normandie Caserne Hatry 2, rue du Général Sarrail 76000 Rouen
Objet : Mise au point globale sur mon état judiciaro-policier à l’occasion de la possession d’un flash ball, arme de catégorie C3, suite au courrier en date du 21 juillet 2024, rectification des informations erronées portées sur ce courrier. Nota : Copie à gendarmerie de Rives-en-Seine
http://the-key-and-the-bridge.net/flash-palestine-folie.pdf et http://the-key-and-the-bridge.net/flash-palestine-folie.html
Lettre simple
Madame, Monsieur, Partie 1
Des informations erronées ont été portées à votre connaissance sur le courrier daté du 21 juillet 2024, concernant le bulletin n°2 de mon casier judiciaire, dont certaines condamnations excluent la détention d’une arme du type de celle que j’ai en ma possession. En effet je n’ai pas été condamné pour menace, mais pour injure publique, de plus cela s’étant passé en 2007, et aucune autre condamnation n’ayant été inscrite depuis sur mon casier judiciaire, il y a effacement automatique de cette condamnation. Par acquis de conscience, j’ai adressé au Procureur de la République à Rouen une demande de communication orale des contenus de mes bulletins 1, 2 et 3 de mon casier judiciaire. Toute cette affaire est l’occasion d’une mise au point globale de mon état policiaro-judiciaire, cette mise au point constituant la partie 2 de ce courrier.
Partie 2 Liste des procédures civile et pénale et condamnations judiciaires
1 – Pénal : 2004 – 2005
Cause : Lettre publiée sur internet en 2003 adressée par moi-même au Procureur de la République à Paris, objet de la lettre : les juifs en tant que tels, et le génocide des palestiniens par les juifs, dont la narration officielle de l’extermination par les nazis, qu’il est interdit par la loi Gayssot de 1990 de ne pas croire, sert de justification morale. TGI de Paris, 17ème chambre correctionnelle Condamnation en juin 2004, 1 mois avec sursis et 5000 euros d’amende
Motif : contestation de crime contre l’humanité et diffamation publique en raison de la race, religion, ethnie. Cour d’appel de Paris, 11ème chambre correctionnelle
Condamnation confirmée en mai 2005
Remarques : – Délai de prescription de trois mois (loi sur la presse) dépassé pour pouvoir engager la procédure. – Aide secrète de l’officier de police le lieutenant Chacun, de la BASLP, chargé de m’auditionner lors de la garde à vue (durée 1 heure 30) rue du Château des Rentiers, Paris 13ème, information sur une future perquisition décidée qui a été de ce fait annulée, et information sur le délai de prescription dépassé « le procureur arrivera bien à articuler cela ».
2 – Civil : 2005 – 2006
Cause : Dépôt des statuts à la Préfecture de police de Paris, d’une association (CODEIG – Compréhension et Dépassement de l’Idée de Génocide) dédiée à la lutte contre tous les génocides, dont celui des palestiniens par les juifs en Palestine envahie et occupée, en mai 2005. Le Préfet de police saisit le Procureur de la République pour faire interdire l’association dès juin 2005. TGI 1ère chambre civile, président Gondran de Robert Novembre 2005, le Parquet est débouté, condamné aux dépends, l’association CODEIG est déclarée légale. Cour d’appel de Paris, 1ère chambre civile, section A, président Grellier Novembre 2006, confirmation de la légalité de l’association CODEIG, condamnation du Parquet aux dépens.
Remarques : – Malgré la condamnation du Parquet aux dépens, j’ai été contraint de régler ces dépens sous peine de saisie par l’huissier en charge du recouvrement, il s’agit donc d’un vol.
– Malgré que l’association CODEIG ait été déclarée légale, la Préfecture de police a refusé sa parution au Journal officiel, le Journal officiel directement saisi a refusé de la faire paraître, le Premier Ministre qui a autorité sur le Journal officiel a refusé d’ordonner au Journal officiel de la publier. Le chèque couvrant les frais de parution a été encaissé par le Trésor public, et ce montant jamais restitué, il s’agit donc d’un vol.
– Un site internet ayant été créé par moi-même http://www.codeig.net (clos depuis), ce site ayant l’intégralité de l’objet de l’association porté en page d’accueil, ce site a été gelé sans décision de justice, sans décision administrative, l’hébergeur DRI (Digital Rural Informatique), ayant été contraint de suspendre le programme de mise à jour du site, ainsi qu’il a été contraint sans décision de justice ni décision administrative d’effacer trois pages du site. L’objet de l’association CODEIG a donc été publié par moi-même, sur mon propre site internet, mais sans que je ne puisse plus accéder au site pour le mettre à jour. Puis quelques années plus tard, l’accès au site a été rétabli, et j’ai pu republier les pages précédemment effacées.
– Lors des deux procès en première instance et en appel les magistrats ont accepté que je me passe d’avocat et d’avoué alors que cela était obligatoire, et en appel, la séance eut lieu en chambre du conseil.
– En première instance, lors de l’audience, une envoyée d’une organisation juive a pris des photos des juges, et s’est vue confisquer son appareil. 3 –
Pénal 2006 – 2007
Remarque préliminaire : les deux procédures pénales qui suivent ont été déclenchées par l’échec de l’interdiction de l’association CODEIG 3
– 1 : 2006 – 2007 Cause : répression de l’objet de l’association CODEIG, déclaré précédemment définitivement légal par la justice civile, le Parquet ne s’étant pas pourvu en cassation. Décembre 2006, 6ème chambre correctionnelle de Versailles, président Philippe David, amende 8000 euros, motif : injure publique envers fonctionnaire ou personne détentrice de l’autorité publique Mai 2007, 8ème chambre correctionnelle de la Cour d’appel de Versailles, requalification en injure publique simple, 2000 euros.
Remarque : Le juge Philippe David, était avant d’être nommé président de chambre correctionnelle, juge des libertés au TGI de Versailles. Il a été la cause d’un scandale, car ayant remis en liberté un important trafiquant de drogue, qui de ce fait n’a pu être jugé. Cette promotion dévoile quel type de magistrat est placé dans les chambres à caractère politique, qui perdent toute indépendance et exécutent les ordres donnés secrètement de condamner ou d’absoudre.
– 2 : mai 2007 – novembre 2007 Cause : répression de l’objet de l’association CODEIG, déclaré précédemment définitivement légal par la justice civile, le Parquet ne s’étant pas pourvu en cassation Motif : l’objet publié de l’association CODEIG Mai 2007, 17ème chambre correctionnelle du TGI de Paris, condamnation à une amende de 5000 euros, pour provocation, discrimination, appel à la haine et violence, envers un groupe de personnes … et contestation de crime contre l’humanité. Novembre 2007, 11ème chambre de la Cour d’appel de Paris, amende réduite à 2500 euros.
Partie 3 Note préliminaire : Les procédures judiciaires à mon encontre ayant été contreproductives, les condamnations ayant servi ma notoriété, « il » a été décidé de passer de la répression légale, ouverte, à d’autres formes de répressions. On m’a parlé en ce qui me concerne de « guerre de basse intensité ».
2007 Echec du piège tendu au commissariat de police central du 18ème arrondissement de Paris, et échec de la poursuite de ce piège déporté dans une annexe locale de l’hôpital psychiatrique Maison Blanche, saisi par la Préfecture de police de Paris, via son service de l’Infirmerie spéciale.
En janvier 2007, une première convocation au commissariat de police rue de Clignancourt Paris 18ème, motif indiqué sur la convocation « affaire le concernant ». Suite à une demande téléphonique de précision on m’envoie en février 2007 une seconde convocation avec pour motif : « Suite à vos courriers à Mr le Préfet, affaire Hess Skandrani ».
L’affaire en question est celle d’une militante Ginette Hess Skandrani, fondatrice du parti écologiste, engagée dans la cause palestinienne, agressée et blessée par des nervis juifs, identifiés et qui jouissent d’une totale impunité. Mes courriers au Préfet ont pour objet d’une part la parution au Journal officiel de l’association CODEIG que le Préfet bloque (conversation téléphonique avec une responsable du bureau des associations de la Préfecture : « mais vous n’avez qu’à la faire paraître vous-même dans un autre journal », et le cas Ginette Skandrani, avec laquelle je coopérais étroitement dans le domaine de la cause palestinienne.
Après conversation téléphonique avec le brigadier en charge de me recevoir au commissariat, à qui je demande dans quel cadre légal se situe cette convocation (le code de procédure pénale s’imposant à chaque acte policier), et qui me répond que si on s’en tenait au cadre légal on ne ferait plus rien, je saisis le procureur et le doyen des juges d’instruction garant des libertés publiques, annonçant que je ne me rendrai pas à cette convocation, sans que ce point ne soit éclairci.
En mars 2007, je reçois une convocation de la part d’une annexe de l’hôpital psychiatrique Maison Blanche, située boulevard de la Chapelle, avec pour motif « suite à vos différents courriers aux autorités », je téléphone à cette annexe, on me répond que si je ne viens pas, on pourra venir à mon domicile et m’emmener de force. Je me rends à cette convocation, cette affaire ayant été ébruitée sur plusieurs sites internet importants, accompagné de sept personnes, dont un ami médecin trésorier du Mouvement Ecologiste indépendant d’Antoine Waechter, de Ginette Hess Skandrani, d’un membre de la résistance contre l’ancien état d’apartheid d’Afrique du Sud entre autres, et du pseudo militant islamiste, Abdelhakim Séfrioui, impliqué dans l’affaire Samuel Paty, en réalité un agent des services occidentaux et juifs, chargé entre autres de nous observer. A la sortie du métro, on est accueillis par une demi douzaine de policiers de la police politique des renseignements généraux, qui se proposent de faire l’intermédiaire entre nous et l’intérieur de l’annexe de l’hôpital psychiatrique, les pseudo soignants bien peu courageux refusant de sortir nous rencontrer. De l’autre côté du boulevard de la Chapelle, en face est garée une grosse voiture, plusieurs personnes en sortent munies d’une grosse caméra et filment. Le long du trottoir de notre côté, sont garés trois fourgons occupés par des policiers des brigades de district (sorte de CRS locaux), soit environ une trentaine d’individus, et d’autres véhicules banalisés. En tout, une cinquantaine de policiers. Les RG obtiennent que notre ami médecin puisse pénétrer seul dans l’annexe psychiatrique pour parler avec le responsable.
Notre ami médecin en ressort après en être venu aux mains, lui ayant demandé comment des membres du corps médical peuvent être assez lâches et serviles pour se prêter à ce rôle. Ce médecin, interne des hôpitaux de Lyon, qui a fait le déplacement depuis Lyon, avait 78 ans. Les RG nous raccompagnent au métro tout proche, nous conseillant de porter l’affaire devant la justice. J’obtiens du cabinet du Préfet en août 2009, la copie du signalement de la Préfecture de police adressé à l’hôpital psychiatrique, avec le prétexte pour me convoquer à un examen médical (voir en annexe); quant à l’hôpital Maison Blanche, il me répond qu’il ne possède pas de dossier me concernant. J’abandonne l’idée de procédure, préférant porter toute l’affaire au public.
Partie 4 Suite aux échecs des procédures judiciaires et du piège du commissariat déporté à l’annexe psychiatrique, a commencé une phase particulière qui se poursuit jusqu’à maintenant, et qui vous concerne, vous les forces dites de l’ordre, puisqu’il s’agit de violation de domicile, dégradation, sabotage mettant la vie en danger, harcèlement et autres.
La connaissance de ces faits devrait vous obliger à prendre des dispositions afin que ces exactions cessent. Votre inaction fera ressortir que vous en êtes complices. Ces faits relèvent de ce qu’on nomme la basse police. J’ai chargé en 2007 l’avocat parisien Jean-Louis Chalanset, de rédiger une plainte au Procureur de la République, ce qu’il a fait. Je n’attendais rien de cette démarche, sinon d’adresser un message direct aux auteurs de ces exactions, de plus rédigé par un agent secret du régime, car pour être aussi l’avocat de Jean-Marc Rouillan, un faux terroriste aux ordres du régime, il faut obligatoirement être soi-même un agent du régime, sinon l’avocat de ce personnage aura des difficultés relativement à l’incohérence des faits, et aux contradictions entre la version officielle et celle qui circule hors du contrôle du régime. Il a fait un bon travail. Ces faits de basse police ne méritent pas d’être plus développés, mais il fallait les évoquer.
Ce qui étonne, et qui étonne mon entourage direct, est cette constance et durée (bientôt on pourra fêter les 20 ans), et l’obscurité de l’objectif recherché, la masse de moyens et l’importance des frais engagés. Peut-être ne s’agit-il que de faire qu’on se pose sans fin une question sans réponse, mais même cela me semble peu efficace, on a depuis longtemps appris à vivre avec, à en rire, à constater quand durant un moment il ne s’est rien produit (tiens, on nous oublie…); de plus, une documentation copieuse existe sur ce genre de procédés, qui n’ont rien de secret, d’étonnant, qui sont plutôt banals.
On me dit que quand ils lancent une opération, elle continue sans plus de décisions sur sa lancée. On aurait affaire à une sorte de machine sans âme. Chalanset m’a dit « ils veulent vous rendre fou », moi je pense qu’il n’est pas besoin de les faire rendre fous eux, ils le sont déjà, quant à me rendre fou moi, c’est possible avec quelqu’un qui est construit sur un modèle, issu d’un moule, et qui voit son identification s’éloigner. Ce n’est pas mon cas, à mon avis, je suis de la catégorie qui ne peut pas devenir fou, je dirais presque hélas, car je suis contraint d’être dans le réel, et je n’ai pas de modèle rigide, je suis souple, malléable, et capable donc de m’adapter à peu près tout, je n’ai pas besoin de repères pour exister.
Voilà pour la partie 4, guerre psychologique, peut mieux faire, de la bonne volonté, mais résultats insuffisants par rapport aux efforts consentis, allez cela vaut un 2/20, on est gentil.
Et pour finir sur une note gaie, concernant le flah ball, j’ai même retrouvé dessus, une marque faite à la craie blanche.
C’est afin que vous me connaissiez de façon réaliste que j’ai réalisé ce document, vu que vous êtes l’appendice du régime dans mon environnement proche, ainsi vous pourrez compléter votre dossier, avec une autre source que celle de vos services. Recevez, je vous prie, mes cordiales salutations.
Une évaluation désobligeante pour notre classe politique. Texte du 29 juillet 2024
[Un article qui va un peu plus loin, et c’est en Français malgré le titre :
Sommaire : 1 – Pourquoi les élections en France sont devenues structurellement falsifiées. 1 – Pourquoi les élections en France sont devenues structurellement falsifiées.Il n’y a plus de militants dans les partis politiques, les partis politiques sont des coquilles vides, ou des sortes d’armées mexicaines, constituées de professionnels vivant de la politique, et d’un nombre très réduit de vrais militants (ceux qui portent les pancartes dans les manifestations). Les tracts sont distribués par des sociétés privées payées pour cela, comme les affiches électorales sont collées sur les panneaux légaux lors des élections, par des sociétés privées, qui agissent en même temps pour plusieurs partis. Or, ce qui compte réellement dans un processus électoral est la capacité à contrôler la régularité des étapes des élections, ce qui n’est plus possible car il n’y a même pas assez de militants pour assurer une présence des partis dans chaque bureau de vote, et relever les chiffres obtenus, les additionner et les comparer avec ce qu’annoncent les bureaux des affaire générales des préfectures qui collectent et additionnent tous les résultats obtenus dans les bureaux de vote d’un département. De plus, auparavant, c’était la gendarmerie qui était en charge de véhiculer les procès verbaux et les votes vers un bureau centralisateur, lequel répercutait les résultats vers le bureau des affaires générales des préfectures. Maintenant c’est un membre des mairies concernées. Les résultats structurellement incontrôlables, sont donc fabriqués dans les préfectures dans un service dépendant du cabinet du préfet, ce service étant en charge des affaires réservées. Bien sûr, cela n’est possible que parce que les partis politiques sont tous complices de l’imposture des élections, et on peut constater que puisque pas un seul ne soulève le fait de l’imposture des élections en France, même pas les fameux pseudo dissidents de l’UPR et des Patriotes, que la totalité du milieu politique français est associé pour maintenir l’état d’imposture des élections. En fait la vie politique en France est devenue une fiction, et un simple pactole qui est partagé entre figurants dont le rôle unique est de maintenir une illusion en contrepartie d’une existence aisée, facile et sans risque. 2 – Le parti LFI, La France Insoumise, pierre angulaire de la structure de falsification des élections en France.Le parti LFI a la charge d’encadrer pour le compte du régime la partie la plus remuante de la population française, et cette tâche primordiale le rend central pour le régime. Plus globalement, chaque parti a le même rôle, envers une partie spécifique de la population française, mais LFI se consacre à la partie qui peut poser un problème de désordre, d’action concrète dans la rue ou sur les lieux de travail. LFI évite l’intervention des forces de police et de gendarmerie spécialisées dans la répression des mouvements de masse. Il suffit de voir où se trouve le siège de LFI pour le comprendre. Ce siège est situé passage Dubail à Paris 10ème. Le passage Dubail est une manière de cité administrative créée par Napoléon 1er à Paris, une zone où se trouvaient regroupées toutes les administrations centrales, facile à protéger. Il a été procédé de même avec les organisations d’encadrement de la partie menaçante de la population, il s’agit de concentrer dans quelques mêmes endroits à Paris, les administrations d’encadrements de la population menaçante. Ce fut l’œuvre d’un juif sioniste, Gustave Massiah, qui fonda le CICP de la rue Voltaire à Paris 11ème, un immeuble qui regroupe des dizaines d’associations et d‘ONG, qui fonda le CRID passage Dubail, qui regroupe une centaine d’associations et d’ONG et Coordination Sud passage Dubail, qui regroupe une centaine d’associations et d‘ONG, et pour la réserve de Black Block, les éléments servant à instiller la violence dans les mouvements de foule, afin de criminaliser ces mouvements et d’apeurer la population, et qui sont aux ordres de la police secrète du régime, le siège de la CNT à Paris 20ème, rue des Vignoles. Toutes ces associations et ONG œuvrent en France et à l’international, en Asie, en Afrique, et sont de véritables mères porteuses pour les services secrets français, américains et juifs. Les pôles principaux et connus du complexe de contention de la population menaçante pour le régime en Île de France, sont rue Voltaire, rue des Vignoles, passage Dubail et rue de Villiers à Levallois-Perret pour la DGSI, et la Préfecture de police de Paris, boulevard du Palais sur l’Île de la Cité, 4ème arrondissement, face au Palais de justice et à côté de la chambre de commerce, pour son service d’espionnage et de manipulation de la population. Accessoirement, il faudrait citer Alternative libertaire rue d’Aubervilliers Paris 19ème, la CAPJO-EuroPalestine rue d’Odessa Paris 14ème, le NPA à Montreuil, la CGT à Montreuil etc … On peut considérer LFI et son pseudo dirigeant comme un appendice direct des services spéciaux du régime, et on a pu constater sa situation exceptionnelle dans le dispositif du régime qui a permis de conforter récemment la position formelle du factotum Macron, lors des dernières pseudo élections en juin 2024. 3 – Les poupées russes de la contention en France de la population.Le système procède par cercles successifs, comme une série de poupées russes, s’emboîtant les unes dans les autres. Le plus grand cercle est celui de la masse de la population, numériquement environ 95 %, la circonférence de ce cercle, soit sa clôture, est constituée des principaux partis politiques, des syndicats, des ONG et associations, des médias, des artistes, des intellectuels (on peut ajouter pseudo devant chaque membre de cette énumération). Le second cercle comprend la partie de la masse qui échappe au premier, sa circonférence est constituée d’organes ou services spéciaux du type LFI et autres services précédemment décrits, comme ceux du passage Dubail. Le troisième cercle comprend les individus qui ne peuvent être circonscrits dans les deux précédents cercles, ils le sont dans le troisième dans des réseaux ou groupuscules fermés qui n’ont pas pignon sur rue. Le quatrième cercle est constitué des individus échappant au trois premiers, et là on tombe dans le mystère, ces individus sont utilisés par les services pour des tâches utiles au régime, et dans lesquelles ils sont souvent, voire toujours, sacrifiés. Il n’y a pas de cinquième cercle. Les individus qui ne peuvent être circonscrits dans les quatre cercles, sont dénommés les «incontrôlables ». Ils sont l’objet d’un traitement spécifique, au cas par cas, par le bureau spécialisé du régime. Ils sont les seuls êtres vivants existant au sein de ce type de non-société, constituée de sortes de morts-vivants, bientôt remplacés par des pseudo êtres, dits « intelligence artificielle ». Que le régime supporte l’existence des « incontrôlables » est une interrogation. Mais un système doit au moins conserver en son sein quelques éléments qui ne lui appartiennent pas, sous peine de sombrer dans la folie totale et de s’auto-détruire rapidement. C’est sans doute en raison de cette conscience diffuse que le système ne tue pas immédiatement les « incontrôlables », ils lui sont indispensables à sa survie, le système les hait, mais il ne peut s’en séparer. Comme tout se passe sur Internet, de façon dite virtuelle, c’est à dire imaginaire, hors le réel, maintenant, on retrouve ces cercles transposés au sein des sites internet. Par exemple, les 2ème, 3ème et 4ème cercles sont circonscrits par des sites tels Réseau international, Numidia liberarum, France Soir, Ciel étoilé, Egalité et réconciliation, Le Courrier des stratèges, L’échelle de Jacquot, et par des gens omniprésents sur ces sites, comme Jean-Dominique Michel, la psychologue pincée des fesses Est-ce elle Dupont ?, Lucien Lacombe-Bonnal, Alain Soral l’a dit avant les autres, L’empereur du rire gras et de la barrique insubmersible Dieudonné, Thierry Meyssie service compris, l’arabe bounty du Grand Londres Aldo Sterone, Sylvona Trotto, et j’en passe (un vrai catalogue d’une centaine de pages), il n’y a plus que cela, le seul tri à faire est entre ceux qui sont en mission commandée et ligotés comme des saucissons pendus au plafond que les courants d’air balancent ainsi que le vent des mouches, et ceux qui l’ignorent (il y en a, c’est les pires, et les plus profitables pour le système, il n’y a rien de mieux que les bénévoles inconscients auto-motivés, ce sont les plus efficaces et les plus agressifs, ils se croient missionnés par une instance transcendante). 4 – La cause essentielle de la montée de la passivité de la masse.Quand j’étais parisien, il y a longtemps, il y avait encore de vrais vivants au sein de la masse, et on pouvait les rencontrer dans le métro ou le RER par exemple. Il y en a deux qui me viennent à l’esprit, l’un était un très jeune noir qui peignait à l’aquarelle sur un banc de la station RER des Halles, au milieu du bruit et de la foule, des tableaux évoquant le Vatican comme le lieu du diable. L’autre était un personnage unique et invraisemblable, qui circulait dans les rames du métro, silencieux, avec une pancarte où était inscrit en substance « les socialistes diffusent un gaz soporifique dans l’air pour endormir la population ». Allez, un troisième, un arabe, toujours sur le tronçon de la ligne aérienne Barbès, La Chapelle, Jean Jaurès, La Villette, jeune, qui chantait en une sorte de plainte où les paroles étaient transformées en vagues sons, c’était magnifique, et il s‘accompagnait d’une sorte d’harmonium portatif qu’il tenait comme un violon sous le menton, n’en jouant que quelques notes, toujours les mêmes, tout cela sans demander l’aumône, c’était un émerveillement, et je surprenais des regards extasiés des voyageurs. Concernant le gaz soporifique, l’individu était un voyant, car c’est ce qui se passe maintenant. Je ne vais pas développer, car je m’en fous au fond de ce qui se passe, et qu’on soit en train de crever, les morts-vivants de toute façon n’ont pas de vie, et pour les rares vivants, ce n’est pas une vie de vivre au milieu d’un cimetière plein de cadavres qui déambulent sans but, qui sont agressifs, bruyants, crétins, haineux. Le système épand constamment dans l’atmosphère via les avions et autres, des composés de graphène ainsi qu’un vaste catalogue de plusieurs centaines de pages, de produits chimiques toxiques en tous genres, je passe, et cela depuis 30 ans aux USA et une vingtaine d’années en Europe et en France. Ce graphène et ces métaux sous forme de nanoparticules servent entre autres à faciliter la propagation des ondes des radars militaires trans-horizons, des communications militaires avec les sous-marins stratégiques, des émissions des réseaux de satellites 5G (de Musk le pseudo-libérateur ami du pseudo-progressiste Trump, des satellites 5G en réseaux chinois, russes, indiens et autres, bientôt environ 100 000), des systèmes de réchauffeurs ionosphériques du type HAARP qui se multiplient sur toute la planète (et qui provoquent le fameux réchauffement qui est artificiel, la disparition de la couche protectrice d’ozone atmosphérique qui fait qu’on cuit quand ils ne mettent pas les nuages, les cyclones et tremblements de terre (Turquie, Syrie en 2023 sur ordre des juifs israéliens), les sécheresses (voir celle d’Espagne), les incendies, les pluies diluviennes, les ouragans, tornades et autres), des réseaux d’antennes terrestres, et autres compteurs Linky, de gaz, d’eau, des objets connectés, du dispositif global de saturation par les ondes de toute la biosphère terrestre, et n’oublions pas la fameuse WIFI et les réseaux sans fils domestiques dont le crétin de base raffole, cela lui évitant les câbles encombrant sa niche. Le système imprègne de graphène la nourriture industrielle, les médicaments, les anesthésiques, les masques respiratoires, les vaccins pseudo anti covid et les vaccins en général, les écouvillons pour prélèvements dans le nez pour test PCR, les chaussures, les vêtements, les produits cosmétiques, enfin, partout où il peut en mettre, spécialement là où on est contraint d’en ingérer (anesthésiques dentaires par exemple). Les corps des humains, mais hélas aussi surtout ceux des plantes, des animaux, des insectes et autres, deviennent saturés de composés qui pénètrent au cœur même du cerveau, et des cellules, des neurones. Les gammes d’ondes utilisées entre autres, sont dans le registre de celles émises par le cerveau et interviennent sur les émotions. L’un des buts, et il est déjà atteint, est de contrôler les émotions, et la première émotion à contrôler quand on veut éliminer la masse de gens, c’est de lui ôter son agressivité, c’est ce qui est réalisé. Il se trouve que toute la vie repose sur les ondes, et sur une configuration d’ondes précise, un équilibre, une harmonie, et que le dispositif global que le système met en place est en train de disloquer l’harmonie des ondes de vie dans la biosphère terrestre, mais ce n’est au fond que positif, car cela va entraîner la disparition d‘une espèce qui est déjà mourante, et qui ne peut plus faire que nuire aux autres formes de la vie et les entraîner dans sa mort. Et dans ce domaine, il n’y a pas d’ennemis, les juifs, les occidentaux, les russes, les chinois et autres, coopèrent tous dans cette même voie, ils appartiennent au même système, ce ne sont que des rouages du système global.
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