Description
Robert Faurisson pratiqua le révisionnisme littéraire avant de s’attaquer à la grande imposture de l’Hollocauste. Sa lecture de Rimbaud mit à mal la réputation d’Etiemble, mandarin redouté.
La méthode de critique textuelle ici mise en oeuvre ridiculise les prétentions « sorboniques » typiquement françaises, consistant à échafauder constamment de nouvelles théories imaginatives censées rendre compte de l’exceptionnalité de telle ou telle oeuvre sur un mode prétenduement scientifique. L’auteur dégonfla aussi un autre mythe, celui de Lautréamont, idole des surréalistes. La littérature résiste pourtant à ce traitement hygiénique brutal; seuls les faussaires de la transmission universitaire ne s’en relèvent pas.
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